« Je ne cherche pas, je trouve. » P. Picasso
En fait, personnellement, je ne doute pas, c’est juste que quand je ne crée pas, c’est que je n’ai rien d’important à dire. Parfois (Les petits petons et les temps suspendus), j’ai même jugé important de parler un peu du dérisoire et de ce qui paraît futile : un bonheur d’être au printemps… en réaction aux lectures noires, « métallisées » qui se veulent trop sérieuses, voire « graves », car le bonheur existe, on oublie un peu trop d’en parler ou de le décrire, d’apprendre à le voir… Parler du bonheur de deux adultes handicapés, n’est-ce pas une bonne morale pour un bon moral ?
J’aime cette phrase : « Il faut accepter son ignorance. À moins que… 😊 »
Ou celle-là :
« On peut me dire quoi faire, mais pas quoi (en) penser… »
Ou celle-ci : « Je sais ce que je dois faire : ESSAYER, JE VERRAI quoi en penser. »
Ainsi, lié à ce sous-titre, faut-il tant chercher des réponses à nos « questions suspendues », ne faut-il pas plutôt s’ouvrir aux réponses qui viendront à nous, dans leur multiplicité ? S’ouvrir à certains refus fait aussi partie de cette multiplicité de réponses en fonction de chacun. Les « indignés » n’ont-ils pas eu leur succès ?
Une pensée à méditer cependant:
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